DU PARCOURS, UNE VOIE D'EXIGENCE Le parcours de Phu TRAN VAN : Les valeurs, le sens collectif et l'engagement perpétuel.
I- L'enfance
Je suis né à Huê, la dernière capitale impériale du Vietnam, au début de la guerre. Huê est la Florence du Vietnam. Huê, par sa douceur et son romantisme à fleur d'âme, m'a marqué à jamais.
Phu TRAN VAN interprète la chanson de Trinh CONG SON. Trinh CONG SON, qui est aussi originaire de Huê, est son compositeur Vietnamien contemporain préféré .Écouter la chanson de notre player
II- L'éducation.
Phu TRan Van interprète les chansons de Tran Thien Thanh et de Trinh Cong Son. Écouter les chansons de notre player
Mes parents, unis à mes écoles successives, m'ont d'abord transmis des valeurs, dont la passion des autres et le courage. Je les ai développées ensuite dans ma vie.
Le courage : Mes parents ont élevé 11 enfants, dont 9 garçons, en pleine guerre, qui ont traversé cette dernière guerre du Vietnam intacts. Mon père est professeur de français à Huê.
La passion des autres : Notre famille à Huê ne cessait d’héberger des étudiants dans la maison : enfants et adolescents, nous partagions déjà notre vie avec les autres qui sont des frères : la vie fut belle et animée à Rue Dong Da Hue.
III- Le nouvel an de 1968. La Rupture.
J'avais 13 ans. La guerre entra en force à Huê, comme dans d'autres villes du Sud Vietnam. Notre maison est détruite et mon père - 57 ans à l'époque - doit tout reconstruire dans une autre ville, à Danang. Le système de retraite est inexistant. Il a encore fait face, par son courage et le sens du devoir.
IV- 1969 Saigon, le 1er engagement.
J’avais 14 ans, et étais en Première au Lycée Jean-Jacques
ROUSSEAU, l’équivalent du Lycée Henri IV à Paris, de Saigon.
V- Le 27 Avril 1975
Je quittai le Vietnam 3 heures après l’avoir décidé. Ce fut 3 jours avant la fin de la guerre.
J’ai arbitré entre une bourse offerte par l’Administration américaine dans une des grandes universités du pays (Stanford, Berkeley, entre autres) et un billet d'avion « one way » pour aller là où je voulais : j’ai choisi la France, j’ai préféré mes convictions à la sécurité.
VI- Juin 1975
Phu Tran Van interprète les chansons de Maxime Le Forestier, Julien Clerc, Gérard Lenorman, Adamo.
La rencontre avec la France. J’avais 20 ans.
. Mon engagement vis-à-vis de ma famille continuait : mes envois financiers associés à ceux de deux autres frères étaient une bouée de sauvetage. "L'engagement collectif", c'est du concret, c'est de l'attention sincère et de l'engagement, d'abord pour ses proches, avant de s'étendre aux autres : Collègues - coéquipiers - frères d'armes et à la collectivité toute entière.
Résidence Universitaire d'ANTONY - RUA.
Cité Internationale de Paris
Parc Des Sceaux de Paris, prés de la RUA.
VII- Fin 1978
23 ANS : Je saisissais l’opportunité professionnelle de ma vie :
1986 - 31 ans : La grande muraille de Chine- Pékin.
VIII- 1988 - 33 ans : début de l'aventure "entrepreneuriale" : Création à partir de zéro de Corèle International – Industrie de Lingerie.
Le groupe emploie aujourd’hui 10 000 personnes à travers le monde et vise le leadership
mondial dans son industrie à l’horizon 2013-2014.
- La mobilisation des valeurs : Le groupe a créé la fonction de Directeur Central des Valeurs.
"Ce dirigeant vient du terrain : il dirige une filiale du groupe ! Cette filiale
n’enregistrait, avant sa venue, que des pertes depuis plusieurs années. Il a focalisé
l’énergie transformatrice de son équipe de direction, durant les deux
premières années de son mandat, sur les progrès dans l’application des valeurs communes
du groupe au fonctionnement de cette filiale. Et il l’a redressée par cette exceptionnelle
mobilisation, dont l’exemple qu’il montrait était le moteur.
Pages 145-146 du livre.
- Plan du logement dans le village à venir-
- Plan du village à venir - Le village sera pourvu de commodités : Crèches - Espace culturel - Aire sportive - Commerce-
1 – Capitalisme social décloisonné = Capital unifié au travail
= Salariés actionnaires entrepreneurs.
- L’exemplarité du Leadership :
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